Sondez des Adultes, Leçon 72 -La clarification des lois morales

VERSET À MÉMORISER : " Vous observerez mes lois et mes ordonnances : l'homme qui les mettra en pratique vivra par elles. Je suis l'Eternel. Vous observerez mes lois et mes ordonnances : l'homme qui les mettra en pratique vivra par elles " (Lévitique 18:5.

TEXTE : Lévitique chapitre 17 à 19

Après avoir passé plus de quatre cents ans en Égypte, les enfants d'Israël se sont imprégnés de certains des modes de vie immoraux et des pratiques idolâtres des Égyptiens. Cette acculturation pécheresse a continué à affecter leur relation avec Dieu, car ils ne pouvaient pas lui obéir de manière constante. Dans le texte, Dieu a attiré leur attention sur la nécessité de la sainteté dans leur marche avec Lui. Il leur a fourni un catalogue complet d'interdictions, de préceptes moraux et d'obligations pratiques visant à faire d'eux un peuple particulier, distinct des nations païennes environnantes. En dehors des influences corruptrices d'un long séjour en Égypte, dans le présent texte, Dieu répond en promulguant des lois qui régiront le style de vie et les systèmes de culte de son peuple. Tout en réitérant certains préceptes et commandements qui avaient été donnés auparavant, il en introduit de nouveaux face aux réalités actuelles d'Israël. La répétition et l'insistance sont courantes dans l'Écriture comme antidotes nécessaires à la tendance de l'homme à oublier et à s'écarter du droit chemin (Philippiens 3:1). L'ap5tre Pierre considère que le fait de ne pas répéter au troupeau les vérités essentielles et salvatrices de l'Écriture est une négligence spirituelle que les dirigeants doivent éviter (2 Pierre 1:12).

POINT 1 : LES LOIS TOUCHANT LES SACRIFICES SPÉCIAUX.

Lévitique 17:1-16 ; Nombres 15:30 ; 1 Corinthiens 10:20 ; Lévitique 3:17 ; 7:26,27 ; Deutéronome 12:16,23-25 ; Matthieu 26:28 ; Romains 3:25 ; Éphésiens 1:7.

Lorsque les enfants d'Israël se sont installés dans la Terre promise, ils ont été largement dispersés par rapport à leurs chefs et les uns par rapport aux autres. Certains d'entre eux s'installèrent à une distance considérable du tabernacle. Cette nouvelle situation entraînait la tentation de succomber à la volonté propre et aux influences corruptrices des habitants de Canaan qui faisaient des sacrifices partout. C'est pour contrer ce danger et renforcer les normes pieuses au sein du peuple que Dieu envoya les lois morales renouvelées par l'intermédiaire de Moïse. "Afin que les enfants d'Israël apportent leurs sacrifices, qu'ils offrent en plein champ, afin qu'ils les apportent à l'Éternel, à l'entrée de la tente d'assignation, au sacrificateur, et qu'ils les offrent en sacrifice de paix à l'Éternel" (Lévitique 17:5). Le devoir de faire des sacrifices était confié aux sacrificateurs. Avant ce texte, il était d'usage depuis longtemps que les chefs de famille érigent des autels où ils jouaient également le rôle de sacrificateur en offrant à Dieu des sacrifices pour eux-mêmes et pour leur famille. Noé, Abraham, Job, tous ont érigé des autels et offert des sacrifices à Dieu par eux-mêmes (Genèse 8:20 ; 15:10,11 ; Job 1:5). Cette liberté est devenue une source de corruption dans le culte, les individus inventant des pratiques selon leurs diverses imaginations. Certains Israélites ont appris à sacrifier aux démons comme leurs hôtes égyptiens. La loi des sacrifices interdit de sacrifier à Dieu en plein air. Elle autorisait les Israélites et les étrangers au milieu d'eux à tuer des animaux pour les sacrifier uniquement sur l'autel de Dieu dans le tabernacle. La désignation du tabernacle à Silo et l'inauguration de la sacrificature étaient complémentaires de cette loi. Elle donnait la solennité voulue au culte public en Israël. La désobéissance à cette loi était punie de mort (Lévitique 17:4,9). Bien que la loi ait été conçue comme une pratique standard et uniforme du culte en Israël "pour toujours... de génération en génération", elle était souvent enfreinte par le peuple. Le Nouveau Testament, étayé par le sacrifice parfait de notre Seigneur et Sauveur, a mis fin aux lois cérémonielles de l'Ancien Testament, y compris celle des sacrifices d'animaux. L'Écriture le décrit magnifiquement : " C'est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit : Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, Mais tu m'as formé un corps; Tu n'as agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché. Alors j'ai dit : Voici, je viens (Dans le rouleau du livre il est question de moi) Pour faire, ô Dieu, ta volonté. Après avoir dit d’abord : Tu n'as voulu et tu n'as agréé ni sacrifices ni offrandes, Ni holocaustes ni sacrifices pour le péché (ce qu'on offre selon la loi), il dit ensuite : Voici, je viens Pour faire ta volonté. Il abolit ainsi la première chose pour établir la seconde. C'est en vertu de cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l'offrande du corps de Jésus Christ, une fois pour toutes. Et tandis que tout sacrificateur fait chaque jour le service et offre souvent les mêmes sacrifices, qui ne peuvent jamais ôter les péchés, lui, après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés, s'est assis pour toujours à la droite de Dieu," (Hébreux 10:5-12). La mort de Christ est le sacrifice final et acceptable pour le pardon et la purification des péchés. Le Nouveau Testament inaugure ainsi une nouvelle dispensation de l'Évangile du Christ et d'un culte acceptable. Puisque Christ est mort pour tous les hommes de l'univers, Dieu a également conçu que le culte ne soit pas confiné à un seul endroit. Christ le révèle à la femme samaritaine. "Femme, crois-moi, l'heure vient où vous ne pourrez plus, ni sur cette montagne, ni à Jérusalem, adorer le Père. Mais l'heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car le Père cherche ceux qui l'adorent" (Jean 4:21,23). Aujourd'hui, des mains saintes peuvent être levées vers Dieu par l'Église partout dans le monde (1 Timothée, 2:8) et un doux parfum peut être dégagé.2:8) et un parfum d'adoration véritable et acceptable s'élève vers Dieu en tout lieu. Christ est notre véritable tabernacle ainsi que notre autel de sacrifice. Néanmoins, nous ne devons pas négliger de nous rassembler dans les lieux de notre culte public (Hébreux 10:24). La loi interdisant de manger du sang a été répétée ici pour souligner et rappeler qu'elle avait été donnée auparavant (Lévitique 3:17 ; 7:26 ; Genèse 9:14). "Tout homme de la maison d'Israël ou des étrangers qui séjournent parmi vous, qui mange du sang, quel qu'il soit, je tournerai ma face contre celui qui mange du sang et je le retrancherai du milieu de son peuple" (Lévitique 17:10). Dieu considérait que la violation de cette loi était si grave qu'elle entraînait la peine capitale. Cela s'explique par le fait que "la vie de la chair est dans le sang". Dieu a ordonné que le sang des animaux soit versé car "... c'est le sang qui fait l'expiation de l'âme" (verset 11).

Cette interdiction s'explique par le fait que le sang est la vie de l'animal et qu'il appartient à Dieu.

Deuxièmement, il est uniquement réservé à l'expiation.

Troisièmement, les adorateurs d'idoles avaient l'habitude de boire ou de manger le sang de leurs sacrifices et Dieu ne veut pas que Son culte soit assimilable à d'idolâtrie.

Quatre, Il veut que Son peuple ait du respect pour la vie.

Cinq, le sang de ces animaux sacrifiés dans l'Ancien Testament préfigurait le sang de Jésus-Christ qui devait être versé pour expier les péchés de l'humanité.

Il doit donc être considéré comme sacré. Dans la dispensation du Nouveau Testament, le sacrifice à Dieu n'implique plus l'abattage d'animaux et l'aspersion de leur sang.

Ceci parce que :

Premièrement, Jésus a accompli sur la croix du Calvaire ce que ces rituels de l'Ancien Testament représentaient. Nos sacrifices sont désormais de nature spirituelle (Hébreux 13:16 ; 1 Pierre 2:5). Nous devons venir avec les sacrifices spirituels de foi, de sainteté, de louange et de service à Dieu. Nous pouvons également donner nos dîmes et nos offrandes comme faisant partie de notre sacrifice et de notre culte à Dieu.

Deuxièmement, les enfants de Dieu ne sont plus limités à un lieu spécifique pour offrir des sacrifices spirituels. Au contraire, nous pouvons maintenant adorer Dieu partout (Jean 4:21-24 ; 1Timothée 2:8).

Troisièmement, Jésus est notre prêtre et notre agneau sacrificiel. Il nous est donc ordonné d'offrir des sacrifices à Dieu par son intermédiaire (Hébreux 13:15).

Quatre, le sang de Jésus a expié nos péchés. Son sang est bien meilleur que le sang des taureaux et des boucs en valeur et en efficacité. Dans le Nouveau Testament, Dieu interdit toujours de manger du sang (Actes 15:20, 29). Les croyants doivent être inébranlables dans la foi, de peur d'être coupables de fouler aux pieds le sang du Christ ou de le considérer comme une chose impure (Hébreux 10:28,29).

POINT 2 : LES LOIS CONTRE LES RELATIONS IMMORALES

Lévitique 18 :1-30 ; 11 :44 ; romain 8 :13 ; 2 Corinthiens 6 :17 ; Proverbes 4 :14 ; Romains 12 :2 ; 1 pierre 4 :1-4 ; Hébreux 13 :4 ; Deutéronome 28 :15 ; Josué 1 :8 ; Psaume 1 :1-3 ; 1 jean 2 :17.

Dans le cadre de ses directives, Dieu a ordonné aux enfants d'Israël de ne pas imiter les pratiques et le mode de vie immoraux des nations païennes parmi lesquelles ils vivaient. "Ainsi parle l'Éternel : Ne suivez pas la voie des païens..." (Jérémie 10 :2). Il est ordonné au croyant de "sortir du milieu d'eux [les païens] et de se séparer", de leurs pratiques, coutumes et traditions (2 Corinthiens 6:17 ; Romains 8:13). Les deux principaux domaines dans lesquels les Égyptiens et les Cananéens ont eu un impact négatif sur les enfants d'Israël sont les relations matrimoniales et le culte profane. Habituellement, les pratiques idolâtres sont imprégnées de relations immorales et de perversions morales. Toutes sortes de perversions sexuelles caractérisaient leur vie religieuse et sociale. Ils pratiquaient sans honte l'inceste, l'homosexualité (sodomie ou lesbianisme), la bestialité et sacrifiaient leurs enfants à Moloch. Notre texte comprend un registre des relations immorales que Dieu a interdites parmi son peuple.

Celles-ci comprennent :

Premièrement, l'inceste qui est toute forme de relation sexuelle ou de mariage entre proches parents. Cela inclut le mariage avec un parent, un frère ou une soeur, un demi-frère ou une demi--soeur, une belle-mère ou un père, des petits-enfants, une tante, un oncle et un beau-frère.

Deux, l'adultère qui comprend toute relation sexuelle ou mariage avec le conjoint d'une autre personne.

Trois, la relation sexuelle avec une femme en période de menstruation. Cette pratique serait associée à certains rituels idolâtres.

Quatre, l'homosexualité qui peut être soit la sodomie (un homme ayant des relations sexuelles avec un autre homme) soit le lesbianisme (une femme ayant des relations sexuelles avec une autre femme).

Cinq, la bestialité - la pratique d'un être humain ayant une relation sexuelle avec un animal. C'est la confusion la plus totale.

Toutes ces relations et perversions sexuelles peuvent saper l'institution du mariage et remettre en cause le plan originel de Dieu pour le mariage. Le dessein de Dieu est que le mari et la femme soient une seule chair. Mais ceux qui embrassent l'homosexualité auront beaucoup de difficulté à expliquer comment deux sodomites ou deux lesbiennes peuvent devenir une seule chair. La personne bestiale est encore plus absurde - un homme ou une femme étant une seule chair avec un animal. Quelle abomination ! Dieu a également interdit aux enfants d'Israël la pratique idolâtre familière consistant à faire passer leurs enfants par le feu. L'Écriture mentionne l'idole "Moloch" en rapport avec cette pratique. Dieu a recommandé la peine de mort pour ceux qui étaient impliqués dans de telles pratiques maléfiques. Dieu a mis en garde son peuple contre la violation de ces lois en attirant son attention sur la tragédie qui a frappé les Cananéens. S'ils suivent les mauvais exemples des Cananéens que Dieu a déshérités de leur terre pour la donner à Israël, le même sort les attend. Il n'a pas seulement mis en garde contre la désobéissance, il a également promis la vie éternelle à ceux qui gardent ses commandements. Il a dit : "Vous observerez donc mes lois et mes jugements ; si un homme les met en pratique, il vivra par eux : Je suis l'Éternel" (Lévitique 18:5). L'obéissance aux paroles de Dieu est une condition préalable à la bénédiction, tant dans l'Ancien que dans le Nouveau Testament.

POINT 3 LES LOIS REGISSANT LA CONDUITE PERSONNELLE

Lévitique 19:1-37 ; 11:44,45 ; 20:7,26 ; 21:8 ; Matthieu 5:48 ;2 Corinthiens 6:14-16 ; Lévitique 22:19,29 ; 26:1 ; Exode 20:3-5,8-17 ; 22:21 ; 23:32 ; Esaïe 8:19; 1 Timothée 4:1 ; Luc 4 ; 1 Jean 5:21 ; Lévitique 23:32 ; Exode 23:11 ;  12:33 ; Actes 4:34-37 ; Jacques 5:4

Dieu a ordonné à Moïse de "parler à toute l'assemblée des enfants d'Israël, et de leur dire : Vous serez saints, car moi, l'Éternel, votre Dieu, je suis saint" (Lévitique 19:2). Aucun membre de cette congrégation n'est exempté de cette directive divine. La raison de ce commandement est qu'Il est saint. Nous ayant créés à son image et à sa ressemblance, il est très heureux et ravi que nous lui ressemblions. Il est très heureux et ravi de nous voir Lui ressembler en caractère, disposition et relation. La pertinence intemporelle de cette exigence divine de sainteté est à la base de sa réitération dans le Nouveau Testament pour tous les croyants. "Mais de même que celui qui vous a appelés est saint, soyez saints dans toute votre conduite, car il est écrit : Soyez saints, car je suis saint" (1 Pierre 1:15,16). L'expérience de la sainteté ou de la sanctification peut être obtenue par les croyants sauvés, consacrés, assoiffés et remplis de foi qui prient Dieu pour cela. La sainteté que Dieu exigeait d'eux n'était pas abstraite ; c'est pourquoi il a donné les détails de ce qu'il attendait d'eux pour refléter sa sainteté. Dieu a dressé une liste de commandements que son peuple doit respecter et qui ont trait à leur vie morale, sociale et religieuse.

Certains de ces commandements étaient destinés à lutter contre la dépravation et la corruption humaines, tandis que d'autres visaient à montrer la tendresse et l'attention que Dieu porte à son peuple, en particulier à ceux qui sont moins privilégiés ou handicapés.

Ces commandements sont les suivants :

Un, le commandement du respect filial et de l'observation du sabbat ;

Deux, l'interdiction de l'idolâtrie, du spiritisme et de l'occultisme ;

Trois, la loi contre la coercition et la volonté propre en religion ;

Quatre, la loi contre le vol, la fraude et le mensonge ;

Cinq, l'interdiction des vœux irréfléchis, des serments et de l'irrévérence pour le nom de Dieu ;

Six, le commandement d'éviter la médisance et la haine ;

Sept, les lois religieuses de la ségrégation et des premiers fruits des arbres.

Huit, l'injustice dans le jugement et les affaires.

Un autre domaine dans lequel Dieu a ordonné à son peuple d'être différent concerne la pratique du deuil pour les morts. Des pratiques comme arrondir le coin de la tête, couper les coins de la barbe, couper la chair pour les morts et imprimer des marques sur le corps étaient des pratiques courantes des nations idolâtres. De nos jours, nous devons éviter les pratiques apparentées que les gens font par goût de la mode. L'engouement pour les coupes de cheveux étranges, les tatouages sur le corps et autres doivent être évités totalement et complètement. Les rites cérémoniels qui ont des liens idolâtres doivent être combattus et rejetés, en particulier lors des cérémonies de mariage, de baptême et d'enterrement. Dieu a également interdit la pratique consistant à faire de ses filles des prostituées. Les parents doivent veiller à ne pas initier leurs filles à la prostitution, soit en les parrainant directement, soit par pure inattention ou négligence. Dieu interdit également toute action susceptible de nuire à nos voisins, comme la médisance, la haine, les ragots et la diffamation, qui peuvent affaiblir le lien d'amour et d'unité et détruire la communion des croyants. Pour le bien-être des défavorisés, Dieu a mis en place, la loi du glanage. Un Israélite ne devait pas aller dans le champ après la récolte pour ramasser les restes. Au contraire, les pauvres, les orphelins, les étrangers et les indigents étaient autorisés à ramasser ces restes pour leur subsistance. Cette loi soulignait le devoir des riches envers les pauvres : ils devaient faire des efforts conscients et des plans pour aider les moins privilégiés. Le Nouveau Testament enjoint également aux croyants de s'engager dans de bonnes œuvres et de ne pas être indûment avares. Les pauvres et les nécessiteux ne sont toutefois pas censés être oisifs. Dieu interdit de priver un ouvrier de son salaire légitime et de profiter des handicapés tels que les aveugles, les sourds et les muets. Nous ne devons pas maudire ou maltraiter les sourds, ni mettre une pierre d'achoppement devant les aveugles, ni les égarer. Dans le contexte du Nouveau Testament, cela implique que nous ne devons pas refuser aux pécheurs la connaissance de la voie du salut en ne leur prêchant pas le Christ. Cela implique également que nous devons nous abstenir de tout ce qui peut faire tomber un croyant (Romains 14:13 ; 1 Corinthiens 8:9). Les personnes âgées doivent être correctement soignées et les étrangers ne doivent pas être opprimés, ni privés de leurs droits ou spoliés. En tant qu'enfants de Dieu, nous devons manifester son amour et son souci du bien-être des autres, en particulier de ceux qui sont moins privilégiés et de la famille de la foi, tout en évitant les penchants corrompus et dépravés. Personne n'est dispensée d'observer et d'obéir aux lois morales de Dieu. L'homme naturel est sans grâce et ne peut pas garder ces commandements, mais heureusement, chacun peut être capable par le salut à les garder (Tite 2:11). Lorsqu'un individu est sauvé, il est en meilleure position pour recevoir continuellement la grâce de Dieu afin d'obéir à ces lois et de demeurer en Christ.

QUESTIONS DE REVISION :

1. Comment les leaders spirituels doivent-ils répondre à la corruption morale et spirituelle croissante de ces derniers jours ?

2. Quelle est l'importance de la répétition et de l'accentuation de certaines lois dans les Écritures ?

3. Mettez en évidence la loi contre les sacrifices inconsidérés et les leçons à en tirer.

4. Expliquez l'instruction de Dieu concernant le sang et comment elle s'applique aux croyants d'aujourd'hui.

5. Soulignez l'importance de la dispensation du Nouveau Testament pour l'appel du croyant.

6. Mentionnez certaines relations inappropriées que Dieu interdit parmi son peuple et pourquoi.

7. Expliquez comment Dieu attend de son peuple qu'il soit distinct dans son style de vie de la sainteté.

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